Dès lundi, les très grands excès de vitesse, jusqu’ici sanctionnés uniquement par une contravention, seront considérés comme un délit. Marie-Pierre Vedrenne, ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, souligne: "En France, en 2024, on avait 63217 grands excès de vitesse : ce n'est pas anodin."
Les automobilistes qui dépasseront de 50 km/h ou plus la limite autorisée s’exposeront à trois mois de prison, une amende pouvant aller jusqu’à 3.750 euros et l’inscription de l’incident au casier judiciaire.
Les grands excès de vitesse deviennent un délit: "Ce type de comportement n'est pas anodin"
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