“La dernière part, personne n’en veut” : les restes, éternels mal-aimés des buffets
Courrier International —
Aujourd’hui, on ne peut plus se fier à grand-chose, regrette Julia Anton dans les colonnes du quotidien allemand “Frankfurter Allgemeine Zeitung”. Mais s’il y a bien une constante, c’est cet amuse-bouche orphelin que personne n’ose prendre. Comment expliquer ce refus ?