«Perte de contrôle», «allongement des temps de réaction»... Une nouvelle étude démontre les dangers du protoxyde d’azote au volant
Le Figaro —
Une expérience menée par l’association 40 millions d’automobilistes a fait inhaler à plusieurs participants une dose minimale de «gaz hilarant», avant de les faire conduire sur des simulateurs. Les résultats sont sans appel.