En République tchèque, la rupture à pas comptés d’Andrej Babis avec le soutien à l’Ukraine
Le Monde (Une) —
De retour à la tête du gouvernement tchèque depuis début décembre, le populiste Andrej Babis entend prendre ses distances avec la ligne résolument pro-Kiev de son prédécesseur, sans s’aligner pour autant sur la Russie. Son ministre de la défense, qui a exprimé un clair soutien à l’Ukraine, s’est fait recadrer vertement.