Le sommet de dirigeants mondiaux sur le climat se poursuit vendredi à Belem, au Brésil, après une première journée marquée par des discours crus sur l'échec à freiner le réchauffement mais offensifs pour l'avenir, y compris contre l'industrie pétrolière.
Des dizaines de ministres et quelques chefs d'Etat et de gouvernement, dont ceux d'Espagne, d'Allemagne et de Namibie, défileront encore à la tribune. Puis s'ouvriront lundi deux semaines de très lourdes négociations annuelles de la conférence de l'ONU à Belem - la première COP en Amazonie.
A la COP30, le front contre les énergies fossiles se réveille
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