Plus nous sommes sensibles, plus nous sommes vivants
La Croix —

Souvent, l’excès de sensibilité est l’objet de reproches. La sensibilité dérange, gêne. Pourtant, « à trop vouloir nous protéger de notre sensibilité, nous appauvrissons le vivant », souligne l’écrivain Frédéric Boyer dans sa chronique hebdomadaire.