Jean-Paul Sartre, l’islamisme et leur néant, par Claude Askolovitch
Libération —
Il est de bon ton de dépeindre le philosophe en révolutionnaire de salon soumis à l’islam radical. S’il n’y a rien de choquant à rappeler les erreurs des grands morts, encore faut-il ne pas mentir : Sartre n’est jamais allé à Téhéran faire allégeance à Khomeiny, rappelle le journaliste.