"J’ai pensé qu’il était aimé dans le village" : le changement d’adresse vire à la guerre des plaques, ils refusent que leur rue porte le nom d’un peintre local
La Dépêche du Midi —

Dans ce petit village ariégeois, la loi 3DS sur l’adressage a tourné au casse-tête. En voulant baptiser une rue du nom d’un peintre local, la maire a dû faire face à une levée de boucliers.