Une université britannique stoppe des recherches sur les Ouïghours sous la pression de Pékin
La Croix —

Après avoir reçu des « menaces directes » de la Chine, une université britannique a interrompu un projet de recherche sur le travail forcé des Ouïghours, menée par une professeure internationalement reconnue pour ses travaux sur l’esclavage moderne. L’affaire est remontée jusqu’au gouvernement de Keir Starmer.