Un an après les inondations à Valence, le très contesté président de la région démissionne
Libération —
Traité d’«assassin» par les proches des 229 victimes, la semaine dernière lors d’une cérémonie de funérailles nationales, Carlos Mazón a craqué, après douze mois de déni de sa responsabilité dans la tragédie. Son départ fragilise le PP, son parti de droite, qui l’a longtemps protégé.