Terres rares : « Que le destin de l’industrie européenne se joue au gré du bras de fer sino-américain n’a rien de satisfaisant »

Si la trêve conclue entre Pékin et Washington met fin au rationnement des puces chinoises du fabricant Nexperia, qui menaçait de paralyser l’industrie automobile européenne, la dépendance du continent vis-à-vis de la Chine reste majeure, observe Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».