Au Maroc, jusqu’à 5 ans de prison si l’on met en doute la transparence des élections
Ouest-France —
Un projet de loi à l’étude au Maroc a pour but d’éviter les diffamations, à l’approche des législatives. Mais un alinéa du texte pose problème. Certains se demandent si la loi ne cherche pas à interdire toute remise en cause du déroulé du scrutin.