« Le vol au Louvre signe un basculement entre une culture publique désargentée et usée, et des acteurs privés riches et agiles »
Le Monde (Une) —
Au moment où le Musée du Louvre se fait cambrioler, le monde de l’art se retrouve dans la rutilante Fondation Cartier, s’égaie à la foire Art Basel Paris et s’extasie devant les expositions de la Fondation Louis Vuitton et de la collection Pinault, relève Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde », dans sa chronique.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            