En croco, requin ou veau, ses chaussures de luxe se vendent des milliers d’euros
Ouest-France —
À 31 ans, Edgard Lucilla entend bien imprimer sa marque dans le monde de la chaussure de luxe. Installé à Saint-Barthélemy-d’Anjou, l’« artisan - bottier » travaille comme sous-traitant pour de grandes maisons de luxe, tout en développant sa propre ligne, qui décoiffe.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            