« C’est tellement intime qu’il faut être en confiance pour pouvoir regarder. »
France Inter —
En tendant "Pornograpfilles" de Jane Roussel dans la rue, les langues se délient. Les femmes parlent de respect, de consentement, de regard. Les hommes, de rythme, de réflexe, de scénario. Et dans ce grand écart, c’est tout notre rapport au désir qui se raconte, sans fard ni détour.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            