Des peines de prison de trois à douze mois avec sursis requises à l’encontre des dix cyberharceleurs présumés de Brigitte Macron
Le Télégramme —
Au deuxième jour du procès à l’encontre des dix cyberharceleurs présumés de Brigitte Macron, des peines de prison allant jusqu’à douze mois avec sursis ont été requises, ce mardi 28 octobre.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            