L’affaire du cyberharcèlement de Brigitte Macron révèle la toute-puissance du complotisme
Courrier International —
Depuis le lundi 27 octobre, dix prévenus sont jugés à Paris pour avoir cyberharcelé l’épouse du président de la République sur sa prétendue transidentité. Une “fake news mondiale, grossière, sexiste et transphobe”, commente la presse étrangère, qui précise qu’elle relève de la “transvestigation”, une nouvelle sous-catégorie du complotisme.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            