« Soixante ans après, il reste un grand malentendu de Nostra Aetate »
La Croix —

Le théologien suisse Grégory Solari estime que, depuis le concile Vatican II, le dialogue judéo-chrétien s’est construit sur une ambiguïté : l’omission de l’État d’Israël. Celle-ci ne fait que s’accentuer dans les discours récents du Vatican et marque une prise de distance de plus en plus forte avec le monde juif.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            