Dans « L’Etranger », le cinéaste François Ozon fait de Meursault un homme qui ne nous est pas radicalement étranger
Le Monde (Une) —
A rebours de l’adaptation littérale faite par Luchino Visconti en 1967, le réalisateur offre avec intelligence et sensibilité une version mise à jour et plus politique du roman d’Albert Camus.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            