Selon une étude de la Fondation Vinci Autoroute, un jeune de moins de 35 ans sur dix a déjà consommé du protoxyde d’azote, également appelé gaz hilarant, lors d’une soirée. Par ailleurs, 7% ont déjà été passagers d’une voiture dont le conducteur en avait pris. 
Plus d’un Français sur trois confie avoir repéré des capsules ou bouteilles de ce gaz sur la voie publique, et 10 % des 16-24 ans considèrent qu’il n’est pas dangereux de conduire après en avoir consommé. 
Face à ce phénomène, les autorités lancent une campagne de prévention choc pour alerter les jeunes conducteurs.
Protoxyde d'azote au volant: un phénomène en hausse
RMC – information en direct —

 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            