Le prénom : « Je m’appelle Régine. C’est comme un manteau transmis, un peu trop large aux épaules »
Le Monde (Une) —
Un peu lourd à porter, banal ou original, objet de fierté ou de honte… Nous vivons tous avec un prénom. Oui, mais comment ? Régine B., 56 ans, regrette son prénom « d’un autre temps », si étroitement associé à « la meneuse de revue ». Elle est salariée dans l’industrie automobile et habite à Genas (Rhône).
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            