Quinze ans après l’enlèvement de Français au Niger, Areva sera jugé pour «blessures involontaires»
Le Figaro —
Le géant français du nucléaire sera jugé en correctionnelle, suspecté d’avoir sous-évalué la menace Al-Qaïda, rendant possible l’enlèvement en 2010 de cinq Français, un Malgache et un Togolais par l’organisation djihadiste près de la mine d’uranium d’Arlit au Niger.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            