De plus en plus chinoise, Hong Kong perd son âme
Courrier International —
Ce sont deux villes voisines. L’une, Hong Kong, a connu près de cent cinquante ans de colonisation britannique ; l’autre, Shenzhen, symbole du développement chinois, a poussé comme un champignon au début des années 1980. Petit à petit, la seconde est en train d’absorber la première, constate le blogueur John zai Xianggang sur la plateforme “Weixin”.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            