« Si je pense qu’il y a un problème, j’appellerai Gianni » : comment Trump a transformé la docile FIFA en instrument de pouvoir
Challenges —

Lundi dernier, le président américain signait l’accord de paix pour Gaza. Le lendemain, mardi, il menaçait d’exclure Boston de la Coupe du monde de football 2026 car la ville est dirigée par une maire démocrate. Jamais un locataire de la Maison blanche ne s’était autant servi du sport, avec comme allié privilégié et docile, le président de la FIFA, Gianni Infantino.
 
       
             
             
             
             
             
             
             
             
             
             
            